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ENGLISH ABSTRACT: This study provides exploratory insight into the social justice mandate of the Commission for Conciliation Mediation and Arbitration (“CCMA”) in the context of labour relations in South Africa. As a vehicle for the advancement of social justice through the efficient resolution of labour disputes, the CCMA is a compelling actor in the pursuit of social justice in South Africa’s labour environment. Social justice as a legislative and policy imperative requires an investment in understanding its conceptual ideals and demands in order to empower those acting in its pursuit with the knowledge they need to fulfil its demands. The CCMA’s most critical functionary, its commissioner, holds the key to unlocking labour justice for many members of the public. One wonders, given the criticality of advancing social justice in labour relations, whether social justice is appropriately understood in order to enable the kind of decision-making that efficiently and consistently addresses the workings of power and inequality as they manifest in employment relationships. This study’s main provocation is to transform the pursuit of social justice (in the South African labour context, at least) from an elusive endeavour to a more tangible, realistic one. It attempts to offer a way of thinking about and applying social justice in the practice of labour dispute resolution in South Africa and the CCMA context. It critically explores the interwoven mechanisms of power, prejudice, and injustice and how these mechanisms work to sustain unequal labour relations. The commissioner’s role is thus a critical one, that involves a deliberate pursuit to recognise, understand and interrupt these movements of power and mitigate the effect of inequality. Any movement towards social justice that does not pay close attention to this matrix of power and prejudice threatens to dilute the transformative potency of social justice. This study identifies and discusses the decisions of commissioners that fall short of the kind of conscientious decision-making required by a mandate of social justice. Discussions in this study also point out significant achievements in centralising social justice principles in decision-making processes at the CCMA, where arbitrators, in reducing injustice and advancing justice in labour relations, show a conscientious consideration and appreciation of historical contexts, power, privilege and disadvantage. Living up to the constitutional imperative to transform society in the way of equality, commissioners ought to develop their agency and be empowered by the Constitution of the Republic of South Africa, 1996, to disrupt inequality. This study contributes to the understanding and clarification of social justice and its implications for the South African labour environment. It also posits ubuntu as an important consideration in the balancing exercise required to achieve justice.
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Le droit des personnes protégées se présente, aujourd’hui, en France, comme un sujet d’actualité de premier rang en occupant un espace considérable dans les tables rondes des conférenciers, chercheurs et juristes français. Le sujet du droit des personnes protégées a toujours été un sujet d’actualité au Koweït. La particularité du système législatif de ce pays, se déclarant dans sa constitution comme étant un pays musulman dont la loi islamique est une des sources principales de sa législation, provient de la combinaison, souvent problématique, entre cette dernière et les deux autres sources majeures que sont la « Common Law » et le droit civil/roman germanique. L’évolution des législations koweïtiennes en vigueur est une nécessité omniprésente qui s’impose à chaque fois que le législateur fait face à l’évolution de la société. Parmi les pays du Golfe, le Koweït a été un des premiers a toujours manifesté sa volonté de suivre l’évolution sociale et économique à l’échelle internationale en s’inspirant de l’exemple occidental dont la France constitue une des figures les plus intéressantes, surtout au niveau législatif. L’intitulé d’un tel travail pourrait être « La protection juridique des majeurs ». Cette thèse vise à comparer les droits français, égyptien et koweïtien. Surtout que les trois droits ne prévoient pas les mêmes garanties, malgré leur affirmation de garantir cette protection. En ce qui concerne le droit français, avec ses multiples sources : droit interne, communautaire et international, il a instauré un système solide et riche, doté de vrais moyens et d’une série d’institutions publiques et privées veillant à garantir la protection juridique des majeurs. Cependant, le système est loin d’être parfait. Des efforts sont toujours déployés à tous les niveaux afin de combler les lacunes persistantes. Le droit koweïtien et le droit égyptien, quant à eux, disposent des systèmes assez récents, dont les sources proviennent majoritairement du droit musulman, du code civil et des conventions internationales.Il sera intéressant de comparer comment les systèmes koweïtien, égyptien et français assurent et garantissent la protection juridique des majeurs. Quelles sont les garanties prévues par les trois législateurs ? Quelles sont les problématiques que vivent les trois sociétés malgré la particularité de chacune, notamment la koweïtienne dont les deux tiers de la population sont des étrangers ?
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As technology continues to advance, more trade is moving online. The increase in digital trade brings with it both opportunities and challenges in the international trade field. The increase in digital trade could for instance result in a spike in digital trade imports which may subsequently cause or threaten to cause serious injury to domestic industries and platforms dealing in like or directly substitutable digital data/content and services. This would necessitate the application of safeguard measures to avert any such serious injury or threat to serious injury caused to the domestic industries and platforms. The procedure for applying safeguard measures to digital trade currently is unclear. The current legal framework on safeguard measures does not apply to digital trade despite increased digital trade over the years. Thus, this study explores the prospects and practical challenges relating to safeguard measures’ application to digital trade with a specific focus on African domestic industries and platforms. While domestic industries and platforms in any part of the world could be affected by surges in digital trade imports, Africa is in a precarious position. Intra-Africa digital trade volumes could be increased and disadvantages of African domestic industries and platforms by surges in digital trade imports could be prevented through regulation and judicious use of safeguard measures. This study established the need to regulate to tap into the potential of digital trade and prevent African industries and platforms from falling behind and from the disadvantage of market dominance by big techs from outside Africa. In conclusion, the study noted legal and institutional gaps in the application of safeguard measures to digital trade. The study has recommended that specific institutions at the global, continental and national levels take necessary actions to build a clear and robust framework for safeguard measures in digital trade.
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Cette étude explore les contours et les tensions de l'optimisation fiscale dans un monde globalisé et numérisé, à travers le prisme des groupes de sociétés. En retraçant l'histoire de l'impôt, elle met en lumière les transformations profondes du système fiscal mondial, où les stratégies fiscales transfrontalières se sont progressivement développées, en dehors des prévisions des législations nationales. Bien qu'enraciné dans le principe fondamental de la liberté de choisir la voie fiscale la moins imposée, l'optimisation fiscale a évolué en réponse aux mutations économiques, juridiques et technologiques, donnant lieu à des pratiques parfois controversées qui se situent aux frontières de la légalité et de l'éthique. À l'intersection du droit, de l'économie et de la politique fiscale, l'optimisation fiscale dépasse le simple objectif de réduction de la charge fiscale : elle reflète un processus global où la mobilité des capitaux et des actifs immatériels perturbe les règles fiscales classiques. Bien que souvent conformes à la législation, ces pratiques d'optimisation fiscale dites « agressives » perturbent l'équilibre des systèmes fiscaux mondiaux, contribuant à un phénomène préoccupant : l'érosion de la base d'imposition et le transfert de bénéfices vers des juridictions à faible fiscalité. Cette dérive a mis en évidence les défaillances des systèmes fiscaux nationaux, incapables de suivre le rythme des mutations économiques et de réguler efficacement les pratiques des multinationales. En déconstruisant les mécanismes sous-jacents de l'optimisation fiscale agressive, cette recherche invite à une critique constructive de l'arsenal législatif actuel. Elle souligne l'urgence de repenser les instruments fiscaux dans un contexte où la mobilité du capital et des actifs immatériels redéfinit les règles du jeu économique et de restaurer un équilibre entre les exigences d'efficacité économique des multinationales et la nécessité de garantir une justice fiscale à la hauteur des enjeux mondiaux
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L'associé salarié est aujourd'hui une figure répandue dans le paysage juridique, en dépit d'une contradiction évidente : il est à la fois propriétaire du capital et subordonné à la société qui l'emploie. Cette antinomie apparente et les interrogations qui en découlent apparaissent, pourtant, majoritairement passées sous silence. Le cumul des qualités d'associé et de salarié est ainsi admis par principe, notamment depuis l'avènement des dispositifs légaux d'actionnariat salarié.Ce silence nourrit l'opportunité d'une étude approfondie de la figure de l'associé salarié. Une analyse miroir du droit des sociétés et du droit du travail est à même de vérifier la réelle compatibilité de ces qualités, tant au niveau de la licéité du cumul que des règles qui lui sont applicables. La proposition est la suivante : se plonger dans l'analyse chronologique du cumul des qualités d'associé et de salarié, de sa naissance à sa disparition, par une étude combinée du droit du travail et du droit des sociétés.En ressort une compatibilité relative des qualités tenant davantage à l'influence du droit du travail que du droit des sociétés. Ce constat ne doit cependant pas minimiser les influences réciproques des deux branches du droit. Contrairement au postulat qui semble suivi par une majorité d'auteurs, l'associé salarié n'est pas juste un salarié particulier : il est également un associé singulier. The employee shareholder is now a commonplace figure, despite a major contradiction: he is both owner of the capital and subordinate to the company that employs him. This apparent conflict and the questions it raises are largely ignored. The dual status of shareholder and employee is accepted as a matter of principle, particularly since the advent of legal employee share ownership schemes.This silence provides an opportunity for a study of the situation of the employee shareholder. A mirror analysis of company law and labour law is able to study the real compatibility of these qualities, simultaneously of the lawfulness of the combination and the rules applicable to it. The proposal is: to analyse in chronological order the dual status of shareholder and employee, from its inception to its demise, by a combined study of labour law and company law.A relative compatibility of these roles emerges. It is due more to the influence of labour law than company law. However, this observation should not minimise the reciprocal influences of the two branches. Contrary to the assumption that seems to be followed by some authors, the employee shareholder is not just a particular employee: he is also a singular shareholder.
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Cette thèse s'intéresse à l'histoire de la clause générale de responsabilité en droit français et à son impact sur les rapports entre les régimes de responsabilité délictuelle et contractuelle. La généralité de la clause entraîne sa nécessaire subsidiarité par rapport aux règles de la responsabilité contractuelle, dans un rapport qui rappelle celui entre le droit commun et le droit spécial. Il s'ensuit que la responsabilité délictuelle doit être exclue du contrat, et que cette exclusion est d'autant plus forte et définitive que l'on se rapproche du cœur du contrat et de la fonction propre de la responsabilité contractuelle, à savoir la satisfaction par équivalent du créancier lésé. Cette subsidiarité est également à l'origine de la présence de la clause générale de responsabilité tout autour du contrat, pour régir les marges du contrat, les situations para-contractuelles. Si la nature de la responsabilité dans ces marges ne sera plus débattue, ses effets devront être tempérés pour s'adapter à la présence du contrat.
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This thesis critically analyses Uganda’s bilateral investment treaty (BIT) system to determine its compatibility with sustainable development imperatives and proposes a new model BIT that aligns with Uganda’s evolving development priorities. Recognising the country’s reliance on foreign direct investment (FDI) for economic growth, this study interrogates the extent to which Uganda’s current BITs—many of which were concluded during earlier policymaking eras—expose the country to legal, economic, and regulatory risks. These include susceptibility to investor–state dispute settlement (ISDS) claims, constraints on the host state’s right to regulate, and a lack of provisions promoting environmental, social, and developmental objectives. Through doctrinal and comparative legal analysis, the study traces the historical evolution of international investment law (IIL), critiques the limitations of Uganda’s domestic and treaty-based FDI frameworks, and identifies substantive and structural weaknesses in Uganda’s in-force and model BITs. The analysis also considers international reform efforts and best practices from new-generation investment agreements, including the AfCFTA Protocol on Investment, the Investment Facilitation for Development (IFD) Agreement, and the SADC and EAC Model BITs. Particular attention is paid to the South African BIT reform experience as a comparator for Uganda’s reform journey. The study finds that Uganda’s BIT system is outdated, overly protective of investors, and poorly aligned with its sustainable development goals (SDGs). It recommends terminating unratified and problematic BITs, renegotiating existing ones, and adopting a new model BIT that balances investor protection with Uganda’s regulatory autonomy and sustainable development objectives. To this end, a draft model BIT is proposed as an annex to guide future treaty negotiations and reform Uganda’s investment regime in line with contemporary global standards and regional aspirations.
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The purpose of this thesis is to evaluate the impact of the Basel Accords on small indigenous banks in developing countries, with particular concentration on small Zambian banks. The problem statement intends to investigate whether implementing the three Basel Accords is conducive to the growth of small banks in Zambia. The study further aims to determine whether the present approach to legal regulation of small banks in Zambia is appropriate. The methodology is based on desk-bound research and examination of both primary sources and secondary sources of material such as books, journals, and relevant articles. The study is impacted by the dearth of secondary research work and the difficulty of getting information from sources like the Zambian central bank and other information centres. While Basel I and II seem to have stabilised the Zambian financial sector, the Basel III Accord appears to have impacted negatively on many small banks to the extent that they have been forced into merger and acquisition arrangements with larger foreign banks to fund their undercapitalised positions to survive. It also emerges that the Zambian financial system is strongly linked to the international global economy; regionalisation with organisations like SADC and COMESA being the first stages in the process. This situation is likely to introduce increased instability in the Zambian financial sector by making banks more vulnerable to the vagaries of the international financial markets. It is thus recommended that the Zambian central bank should be more proactive in lobbying for better conditions for small banks from the Basel Committee for Banking Supervision and other international financial regulatory bodies; it should also avoid “cutting and pasting” rules from other jurisdictions to avoid possible distortions in the banking sector. It should also encourage further development of primary and secondary markets in low-cost paper and provide small banks with long-term, low-interest loans to support their growth. The Bank of Zambia, the Zambian central bank, should consider establishing a separate Act financial services Act for small banks to better regulate them. The central bank should also seek out non-Basel Accord solutions for small banks including re-examining the positive aspects of the infant-industry argument. Lastly, it should introduce a formal system for classifying banks in Zambia. At the international level, it is suggested that the global standard-setting bodies should undergo radical reforms to ensure that they are in tandem with the problems that banks in developing countries face as well as allow them to have a say in global standard setting. It is recommended that global standard-setting bodies apply simpler rules for smaller banks. The impact of the Basel Accords on small indigenous banks in developing countries and Zambia, in particular, is important because of the role that small banks play in developing economies in growing small and medium-sized businesses that are often ignored by large foreign banks. It is also important that small banks are allowed to grow into large and medium-sized banks to effectively compete against foreign multinational banks. Institutions based on neoliberal ideals appear to only serve Western businesses’ interests despite their call for all countries to create a level playing field. Due to the dearth of empirical research, there are several gaps in the work that may provide opportunities for further research in this important area of the law.
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Dijitalleşmenin hız kazandığı ve tüketici davranışlarının dönüşüme uğradığı günümüz e-ticaret ortamında, özellikle Covid-19 pandemisi sonrası çevrimiçi alışverişin yaygınlaşması sürdürülebilir lojistik uygulamalarının önemini artırmıştır. Artan sipariş hacmi, çevresel etkiler, karbon salımı ve teslimat sürelerine ilişkin beklentiler; daha verimli, esnek ve çevre dostu teslimat çözümlerine olan ihtiyacı gündeme getirmiştir. Bu bağlamda ev dışında teslimat gibi alternatif lojistik hizmetler ile sosyal, çevresel ve ekonomik sürdürülebilirlik yaklaşımları, tüketici davranışlarını etkileme potansiyeli taşıyan önemli değişkenler olarak öne çıkmaktadır. Bu doğrultuda tezin amacı, sürdürülebilir tedarik zinciri uygulamaları ile ev dışında teslimat modellerinin, e-memnuniyet, e-sadakat ve ödeme isteği üzerindeki etkilerini tüketiciler üzerinden incelemektir. Araştırma, açıklayıcı sıralı karma yöntem stratejisi ile yürütülmüştür. İlk aşamada 300'ü aşkın tüketiciden anket yoluyla nicel veriler toplanmış, ardından ikinci aşamada 27 katılımcı ile yapılan yarı yapılandırılmış görüşmeler aracılığıyla nitel veriler elde edilmiştir. Nicel veriler yapısal eşitlik modellemesiyle, nitel veriler ise tematik analiz yöntemiyle değerlendirilmiştir. Bulgular, özellikle sosyal ve çevresel sürdürülebilirlik boyutlarının e-memnuniyet üzerinde ve ekonomik ve çevresel sürdürülebilirlik boyutlarının ise e-sadakat üzerinde anlamlı etkiler yarattığı yönündedir. Sürdürülebilirliğin üç boyutu da ödeme istekliliği üzerinde anlamlı ve pozitif bir etki yaratmamıştır. Ekonomik sürdürülebilirlik boyutu ise tüketiciler tarafından doğrudan algılanamadığı için memnuniyet üzerinde anlamlı bir etki göstermemiştir. Ev dışında teslimat uygulamalarının esneklik, zaman tasarrufu ve erişilebilirlik gibi avantajlar sunarak e-memnuniyeti ve ödeme isteğini artırdığını göstermektedir. Son olarak e-memnuniyetin, e-sadakati ve e-sadakatin, ödeme isteğini pozitif yönde anlamlı etkilediği sonucuna ulaşılmıştır. Bu tez, sürdürülebilir tedarik zinciri yönetimi, ev dışında teslimat ve e-ticarette tüketici memnuniyeti, tüketici sadakati ve ödeme isteğini bütüncül biçimde ele alan özgün bir model sunmaktadır. Sürdürülebilir tedarik zinciri uygulamaları ve ev dışında teslimat hizmetlerinin tüketici davranışları üzerindeki etkilerini açıklamak amacıyla Sosyal Kimlik Teorisi (SIT), Yeşil Tüketici Davranışı Yaklaşımı ve destekleyici olarak Yeniliğin Yayılımı Teorisi (YYT) çerçevesinde şekillenen kuramsal yapı, sürdürülebilir uygulamaların tüketicilerdeki karşılığını açıklamaya yardımcı olmuştur. Ayrıca bu çalışma, Türkiye örneğinde sürdürülebilir teslimat hizmetlerine yönelik farkındalık düzeyini ve bu hizmetlerin e-memnuniyet, e-sadakat ve ödeme davranışları üzerindeki etkilerini analiz ederek hem akademik literatüre hem de pratik lojistik ve pazarlama stratejilerine katkı sunması beklenmektedir. In today's rapidly evolving e-commerce landscape, shaped by accelerated digitalization and shifting consumer behaviors, the widespread adoption of online shopping - particularly in the aftermath of the Covid-19 pandemic - has amplified the significance of sustainable logistics practices. Increasing order volumes, environmental impacts, carbon emissions, and heightened expectations regarding delivery times have underscored the need for more efficient, flexible, and eco-friendly delivery solutions. In this context, out-of-home delivery services and the dimensions of social, environmental, and economic sustainability have emerged as key variables with the potential to influence consumer behavior. Accordingly, the purpose of this dissertation is to examine the effects of sustainable supply chain practices and out-of-home delivery models on e-satisfaction, e-loyalty, and willingness to pay, through the lens of consumer perceptions. The research adopts an explanatory sequential mixed-methods design. In the first phase, quantitative data were collected via a survey administered to over 300 consumers; in the second phase, qualitative data were obtained through semi-structured interviews conducted with 27 participants. The quantitative data were analyzed using structural equation modeling, while the qualitative data were evaluated through thematic analysis. The findings indicate that the social and environmental dimensions of sustainability have a significant impact on e-satisfaction, while the economic and environmental dimensions significantly influence e-loyalty. None of the three dimensions of sustainability were found to have a significant and positive effect on willingness to pay. The economic dimension of sustainability did not show a significant effect on satisfaction, likely because it is not directly perceived by consumers. Out-of-home delivery practices were found to enhance e-satisfaction and willingness to pay by offering advantages such as flexibility, time savings, and accessibility. Finally, the results revealed that e-satisfaction has a positive and significant effect on e-loyalty, and e-loyalty, in turn, significantly and positively affects willingness to pay. This study aims to develop an original and integrative model that examines sustainable supply chain management, out-of-home delivery, and key consumer outcomes in e-commerce, namely e-satisfaction, e-loyalty, and willingness to pay. Grounded in the Social Identity Theory (SIT), the Green Consumer Behavior Approach, and supported by the Diffusion of Innovations Theory (DOI), the proposed theoretical framework explains how sustainable supply chain practices and out-of-home delivery services shape consumer behavior. Moreover, by investigating the level of awareness of sustainable delivery services in the Turkish context and analyzing their effects on e-satisfaction, e-loyalty, and payment behavior, this research is expected to provide significant contributions to both academic literature and practical implications for logistics and marketing strategies.
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This thesis critically examines a much-debated issue in international law: the legitimacy of the Investor-State Dispute Settlement system (ISDS). The system was initially conceived to provide an alternate dispute resolution mechanism for the protection and promotion of foreign investment. In time, this objective has incited a discussion on the legitimacy of the system as the developed world has started to experience the role of host states. Since then, they have taken the lead in the reform process to achieve a balance between host state's and foreign investors' rights. To this effect, both the European Union (EU) and the Third Way Approaches to International Law (TWAIL) are for centralization of the system arguing its current problems emanate from its ad hoc and decentralized nature. Although both are aimed at system centralization, the paths they take to achieve it clearly differ. The EU seeks a permanent investment court by which ad hoc arbitration would give way to a more centralized framework. However, TWAIL advocates for a return to the pre-ISDS era, where national courts resolve investment disputes between foreign investors and states. The effectiveness of these two reform ideas in addressing the purported legitimacy concerns of the ISDS is critically examined in this thesis using Martti Koskenniemi's legal approach. Ultimately, it asserts that neither proposal is adequate to resolve the legitimacy issue of the system, as legitimacy can only be achieved by strengthening the principle of justice, which is feasible alone through a more decentralized structure.
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Les communs sont des instruments de gestion des ressources très anciens - que l'on retrouve par exemple en France avec les communaux de la période féodale - qui, après avoir quasiment disparu du débat universitaire sont redevenus un sujet de premier plan grâce aux travaux d'Elinor Ostrom, avant d'être réinventés à l'aune des possibilités ouvertes par le numérique. En effet, on assiste actuellement à l'organisation et au développement de nombreux projets de communs numériques, Internet étant devenu le lieu de prédilection de la création collaborative, sans pour autant exclure de la démarche les rencontres physiques et organisations juridiques autour de ces projets. Par ailleurs, la multiplication de ces projets de communs numériques a conduit à un rapprochement avec le milieu du logiciel libre, du fait de leurs nombreux points communs. Ce rapprochement entre les communs numériques et les logiciels libres a mis en exergue la difficulté pour les projets numériques libres et open-source d'assurer leur pérennité économique sans altérer leur nature de communs.En effet, depuis l'origine, les logiciels libres - à l'instar de l'ensemble des œ œuvres libres - sont pensés comme la propriété collective des contributeurs, qui en fixent collectivement les règles de gouvernance, notamment par le recours à une licence libre. En cela, les logiciels libres sont pensés comme des communs numériques. Toutefois, ce n'est pas toujours le cas. Ainsi, si la gouvernance partagée et la propriété collective de la ressource constituent deux des trois caractéristiques des communs ; elles ne font pas partie des éléments de définition des logiciels libres. De fait, nombre de logiciels libres ne font pas l'objet d'une gouvernance partagée ou d'une propriété collective. Ainsi, ces différentes évolutions questionnent la viabilité dans le temps du modèle actuel du logiciel libre. De fait, si ces nouveaux instruments juridiques sont critiquables, et critiqués au sein de la communauté du libre et de l'open source, ils peuvent également être envisagés comme autant de raisons de s'interroger sur les outils juridiques à même de structurer un modèle économique permettant d'assurer la viabilité des logiciels libres tout en garantissant leur nature de communs numériques.
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L’opération de fusion-absorption d’une personne morale est une question en soi difficilement appréhendée tant dans les effets qu’elles déploient que dans l’organisation d’une telle opération. Cette difficulté propre à la nature d’une telle opération prendra une allure tout autre lorsqu’une personne morale membre d’un conseil d’administration s’y trouve impliquer. Toutes les hypothèses pouvant être développées traduisent non seulement la diversité mais également la complexité d’un tel sujet. Si cette question telle qu’elle est évoquée, est révélatrice du caractère instrumental du droit des sociétés, force est de reconnaître que la résolution d’une telle problématique devrait se faire par la conciliation des caractéristiques propres au droit des fusions mais aussi en tenant compte des spécificités entourant la personne morale administrateur. La transmission universelle du patrimoine, la réorganisation des pouvoirs post-fusion, les droits des créanciers, le problème de la représentation de la personne morale dans la société absorbante, la gouvernance de la société administrée, l’intrusion d’une personne morale tierce, les questions de fusions internationales sont autant de questions soulevées par cette problématique. La solution de cette problématique commande une étude minutieuse des questions soulevées à l’aune du droit OHADA et du droit français.
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Le développement des plateformes numériques au milieu des années 2000 s’est accompagné d’un intense débat juridique cherchant à déterminer la nature de l’activité exercée par ces nouveaux acteurs économiques. Ces derniers prétendent n’être que des intermédiaires. Mais qu’est-ce que cela peut-il bien signifier du point de vue du droit du travail ? Cette étude cherche à répondre à cette interrogation en proposant une théorie qui se veut générale, à même de resituer l’activité des plateformes numériques parmi les autres formes traditionnelles d’intermédiation que connaît déjà le droit du travail. Face au développement croissant de nouvelles techniques d’intermédiation, du portage salarial au CDI intérimaire en passant par le prêt de main-d’oeuvre auprès d’une jeune, petite ou moyenne entreprise ou encore par les plateformes numériques, cette théorie cherche à révéler la cohérence sous-jacente de phénomènes qui peuvent se présenter au premier abord comme répondant à des logiques distinctes. En proposant une représentation d’ensemble, la construction d’une telle théorie est l’occasion d’identifier une propriété fondamentale de tout schéma d’intermédiation : la multipolarité. Cela signifie simplement que ces montages contractuels mobilisent une pluralité d’acteurs. La multipolarité des schémas d’intermédiation est cependant saisie de manière très diverse par le droit du travail. Le cadre d’application des règles juridiques à partir desquelles ces formes de travail sont encadrées peut être tantôt bilatéral, tantôt multilatéral. Dans ce dernier cas de figure, en s’émancipant de la figure traditionnelle de l’employeur, le droit du travail prend en compte une pluralité d’acteurs indépendants les uns des autres pour appliquer une règle juridique à une situation de travail. Ainsi, en proposant une représentation d’ensemble des différentes formes d’intermédiation, la présente étude a donc vocation à révéler la diversité des modes d’application du droit du travail.
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La blockchain à travers ses fonctions registres et smart contracts constitue un moteur de la confiance. Le registre blockchain, distribué sécurisé et sans autorité centrale, révolutionne la confiance. Le smart contract, adossé à une blockchain, auto-exécutant et inaltérable assure, lui, l'exécution automatique d'actions prédéfinies. Initialement conçus pour le secteur financier, le potentiel de cette technologie s’étend à la RSE en tant que support de la norme. Les smart social contracts seraient en mesure d’automatiser les processus liés à la RSE, tandis que le registre blockchain renforcerait la transparence et la traçabilité. Un cadre juridique clair reste cependant essentiel pour concilier innovation et protection des droits. Définir le rôle de la blockchain dans une démarche de RSE pourrait transformer les interactions des entreprises avec leurs parties prenantes, renforcer la confiance, la transparence, la réactivité et, plus largement, l’effectivité de norme sociétale.
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Depuis que le droit traditionnel est pris en compte par le droit positif au Sénégal, leurs rapports ont toujours été organisés en fonction de l'opposition juridique qui sous-tend cette reconnaissance officielle. L'opposition juridique dont il est question est celle des caractère et contenu respectifs du droit traditionnel et du droit moderne au Sénégal. L'organisation de leurs rapports par le droit positif a ainsi toujours eu pour objectif de déterminer les sujets et objets de droit ou les situations juridiques auxquels chacun se rapporte. Néanmoins, le droit positif au Sénégal étant essentiellement un droit moderne, c'est historiquement en défaveur du droit traditionnel que l'opposition juridique s'est officiellement manifestée : l'on observe ainsi au cours de l'histoire de leurs rapports une réduction tendancielle du champ de la prise en compte officielle du droit traditionnel. Pour autant, le déclin de cette reconnaissance officielle n'a pas eu pour effet de priver le droit traditionnel d'existence au Sénégal ; il trouve à y exister de manière informelle, c'est-à-dire en dehors du cadre strictement fixé par le droit positif. Cette existence informelle tient au fait que le droit traditionnel au Sénégal est essentiellement d'origine extraétatique et que, sur ce plan, il parvient à prospérer en raison des croyances et conceptions de la vie sociale qui le fondent et des autorités traditionnelles extraétatiques qui les portent. En tout état de cause, avec le déclin de la reconnaissance officielle du droit traditionnel au Sénégal, c'est le primat du droit moderne dans le droit positif qui y a été affirmé. Mais ce primat est en réalité précaire dans la mesure où l'existence informelle du droit traditionnel fait obstacle à la pleine effectivité du droit positif dans son application.
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La Juridiction unifiée du brevet (JUB), une nouvelle juridiction internationale spécialisée dans le contentieux des brevets européens, est soumise au respect du droit de l’Union européenne. Ce dernier, toutefois, demeure éparpillé et incomplet en matière de la procédure civile. La question du rôle effectif de la CJUE dans l’interprétation des règles procédurales de la JUB représente un intérêt majeur. Or, l’analyse approfondie des règles européennes et celles propres à la JUB conduisent au constat que ce rôle demeure à ce jour limité. L’absence de renforcement du rôle de la CJUE conduit à un risque de l’incohérence du droit de l’UE, de son application non uniforme ainsi que, de point de vue stratégique, à un forum shopping prononcé réduisant l’attractivité de la nouvelle juridiction spécialisée. Pour remédier à cette situation, la thèse suggère une série des propositions visant à renforcer le rôle de la CJUE en la matière, tantôt à travers des instruments horizontaux que spéciaux.
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L’économie numérique a posé des défis inédits en droit de la concurrence,la combinaison de phénomènes économiques ayant conduit à une tendance deconcentration des marchés, réduisant leur contestabilité. En tant que contrôleurd’accès, certaines plateformes d’intermédiation incontournables ont été en mesured’adopter des stratégies de verrouillage et des comportements prédateurs, élevantdes barrières à l’entrée quasi infranchissables. L’approche économique de l’Écolede Chicago, prédominante depuis les années 1980 en droit américain et ayantprogressivement imprégné le droit européen et interne de la concurrence, a ainsimontré des limites, questionnant l’effectivité du droit de la concurrence etspécifiquement de la prohibition des pratiques anticoncurrentielles unilatérales –monopolisation ou abus de position dominante. Entre autres, la gratuité de certainsproduits ou services, la forte connexité des marchés, ou encore la difficile mesurede la substituabilité a complexifié l’évaluation du marché pertinent et du pouvoir demarché.Face à cette défaillance des marchés numériques, une réaction régulatoires’observe, avec l’adoption du Digital Markets Act en droit européen et l’introductionde propositions législatives aux Etats-Unis suivant le même modèle. Nonobstant, ladiversité des modèles économiques des plateformes d’intermédiation rend malaiséeune régulation sectorielle et pose des obligations parfois trop lourdes pour certains,ou non pertinentes.Ainsi, pratique décisionnelle et jurisprudence européenne et interne ont su s’adapterà ces problématiques, initiant une modernisation de la notion d’abus pour saisir lespratiques commerciales déloyales de ces plateformes sous le prisme d’un regaind’intérêt pour l’abus d’exploitation et de nouvelles théories de l’abus d’éviction. Acontrario, le droit américain ne vient que très récemment de s’en emparer avecl’introduction de multiples poursuites civiles à l’encontre des GAFAM depuis octobre2020. Un renouvellement de la prohibition s’avère donc nécessaire afin deconsolider cette orientation et pour que le droit de la concurrence puisse de nouveauefficacement contrôler les pouvoirs privés économiques et maintenir uneconcurrence libre et loyale tout en préservant l’innovation
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Le droit de la propriété intellectuelle, derrière l'apparence unitaire que livre le singulier de cette qualification, est, en réalité, un droit constitué d'une pluralité de régimes juridiques, tels que le droit d'auteur et ses droits voisins, le droit des dessins et modèles, le droit des signes distinctifs, ou encore le droit des brevets. À première vue, cette pluralité de droits ne répond à aucune cohérence d'ensemble.Des raisons historiques peuvent expliquer la disparité actuelle : chaque droit de propriété intellectuelle étant apparu de manière isolée, chacun d'entre eux a développé sa propre logique. Bien que le Code de la propriété intellectuelle rassemble ces différentes protections sous une qualification unitaire et les présente de manière organisée, il ne contient pas de dispositions communes. Au demeurant, l'adoption progressive de différentes protections, telles que le droit sui generis sur les bases de données, le droit d'auteur sur les logiciels, ou encore les droits voisins des éditeurs de presse, réinterrogent sans cesse les frontières de la matière.Pour tenter d'en rétablir la cohérence, la transversalité, qui s'entend d'une approche transversale, peut être mobilisée afin de se demander si, à la lumière des éléments de transversalité identifiés, ceux-ci sont susceptibles de contribuer à l'élaboration d'une théorie générale de la propriété intellectuelle.Ces éléments communs aux différents droits de propriété intellectuelle sont recherchés sous l'angle, d'abord, de l'objet du droit, puis du régime juridique pour, enfin, appréhender leur influence sur la nature juridique du droit de la propriété intellectuelle. En ce qui concerne l'objet du droit, si l'approche transversale permet de révéler certains critères de définition transversaux, elle ne permet pas de dégager une qualification unitaire de l'objet de propriété intellectuelle. S'agissant du régime juridique, l'approche transversale permet, là encore, la mise en exergue d'éléments transversaux qui sont prompts à définir un régime commun de la propriété intellectuelle, mais ces éléments se limitent au volet patrimonial du droit et à sa sanction. L'ensemble de ces éléments de transversalité, susceptibles de constituer le « noyau dur » de la propriété intellectuelle peuvent, enfin, permettre de porter un autre regard sur la nature juridique du droit de la propriété intellectuelle, en interrogeant de manière systémique sa qualification propriétaire. Behind the unitary appearance of this singular term, intellectual property law is actually made up of a plurality of legal regimes, such as copyright and related rights, design rights, trademark law and patent law. At first glance, this plurality of rights does not reflect any overall coherence.Historical reasons may explain the current disparity: each intellectual property right having emerged in isolation, each has developed its own logic. Although the French Intellectual Property Code groups these different types of protection under a single title and presents them in an organized manner, it does not contain any common provisions. In fact, the gradual adoption of different forms of protection, such as sui generis rights for databases, copyright for software, or related rights for press publishers, is constantly reexamining the boundaries of this field.In an attempt to re-establish coherence, transversality, which is understood as a transversal approach, can be mobilized to ask whether, in the light of the elements of transversality identified, these are likely to contribute to the development of a general theory of intellectual property.These elements, which are common to the various intellectual property rights, are examined first from the point of view of the object of the right, then from the point of view of the legal regime and, finally, from the point of view of their influence on the legal nature of intellectual property law. With regard to the object of the right, while the transversal approach reveals certain transversal definition criteria, it does not allow us to identify a unitary qualification of the object of intellectual property. With regard to the legal regime, the transversal approach once again brings to light transversal elements that are likely to define a common intellectual property system, but these elements are limited to the patrimonial aspect of the right and its sanction. All these transversal elements, which are likely to constitute the “hard core” of intellectual property, may finally enable us to take another look at the legal nature of intellectual property law, by systemically questioning its proprietary qualification.
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Avant même la loi de ratification de 2009, réformant l’ordonnance relative à la filiation en 2005, la matière semblait déjà devoir affronter de nouveaux défis. L’évolution des progrès techniques et scientifiques ainsi que la diffusion des droits fondamentaux perturbent, en effet, les équilibres entre les enjeux collectifs et individuels inhérents à l’encadrement des relations familiales. Davantage tournées vers l’individu, ces influences conjuguées densifient la subjectivisation décrite par le doyen Carbonnier. Partant du constat que ce phénomène a franchi une nouvelle étape depuis la libéralisation du mariage en 2013, cette étude a vocation à étudier les mutations à l’œuvre en droit de la filiation qui en découlent. Il en ressort que la nouvelle étape du phénomène consiste à considérer davantage les singularités tant en amont qu’en aval de la loi. Au stade de l’élaboration, le contenu de la loi est négocié quand, au stade de l’application, la solution est établie concrètement. La limite opposée à la volonté individuelle doit désormais être plus concrète et justifiée. En conséquence, le contrôle du domaine se déplace principalement en faveur du juge, au plus près des situations d’espèce.
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L’équilibre contractuel a pu susciter des débats en doctrine tant son appréhension paraissait intuitive, et souvent interchangeable avec d’autres notions, telles que l’équivalence. Pourtant incontournable en droit des contrats, invoquée par la doctrine, le législateur, et parfois même par la jurisprudence, cette notion n’a, paradoxalement, fait l’objet d’aucune étude de portée générale, c’est-à-dire indépendamment des différents modèles contractuels dans lesquels il se manifeste, laissant régner une certaine confusion autour de la notion. La thèse se propose d’apporter une clarification notionnelle en appréhendant l’équilibre au regard de la notion de contrat, indépendamment de ses espèces. L’équilibre contractuel peut ainsi s’analyser comme une finalité, tenant à la satisfaction des intérêts contractuels. Cette définition favorise l’appréhension de l’équilibre contractuel en droit positif, ainsi que l’identification des phénomènes du droit positif subsumés sous la notion d’équilibre contractuel. Pour favoriser cet idéal, cela suppose l’identification de certains critères, non absolus, induisant une prévention et un traitement rationnel de l’équilibre contractuel, permettant, notamment, la conservation de l’intérêt de l’outil contractuel
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